Dans le magazine Le PointFacebook et Twitter, j'ai horreur de ça... C'est typique de cette société où chacun pense à son nombril...
Nicolas Sarkozy nous fait croire que la crise que nous vivons déjà à cause de sa politique pourrait être la conséquence de la crise financière qui arrive.
C'est une fois de plus, par Nicolas Sarkozy, la préemption de fonctionnaire pour des raisons personnelles, la privatisation de la République.
Josiane Balasko a formidablement dit en trois mots ce que nous pensions : "où sont les socialos ?" Eh ben, ils sont là, les socialos !
Nous disons à Nicolas Sarkozy qu'il ne faut pas s'arrêter au symptôme que constitue la crise financière et qu'il faut s'attaquer à la maladie elle-même, et la maladie c'est le libéralisme.
Je suis hérissée que des gens, c'est vrai pour Ségolène comme pour Sarkozy, utilisent des éléments intimes dans leur carrière publique.
Je dis à la droite, riez encore quelques jours car dès la semaine prochaine, le Parti socialiste est de retour.
Bernard Kouchner n'est plus Bernard Kouchner.
Combien faudra-t-il de dizaines de milliers de chômeurs en plus avant que le gouvernement se décide à réagir ?
J'ai le souvenir de beaucoup de chaleur. On s'amusait bien.
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